David Hellebuyck : « Je souffrais le martyr aux entraînements »

Poussé à la retraite anticipée à cause d’une blessure persistante au genou, David Hellebuyck est revenu sur sa carrière, qui l’a mené entre autres au PSG, à Saint-Etienne avant de terminer à Nice.

J’aurais aimé poursuivre l’aventure encore quelques années. J’ai pris un énorme plaisir à vivre ma passion. Je me suis vraiment régalé. J’ai conscience que j’étais un privilégié. Depuis trois ans, j’ai un problème de cartilage au genou gauche. Cela a commencé par de petites douleurs qui ont progressivement augmenté en intensité. Je n’arrivais pratiquement plus à courir, je souffrais le martyr aux entraînements. Je ne pouvais plus continuer. J’ai plusieurs pistes mais, pour l’heure, je n’ai pris aucune décision. Je passerai peut-être mes diplômes d’entraîneurs afin de commencer par entraîner les jeunes. Ou, alors, je changerai totalement d’orientation.

Un commentaire

  1. On doit écrire : le martyrE (= ce que l’on endure) et non le martyr (= l’homme qui souffre).

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